La réalité des féminicides en 2024 

La réalité des féminicides en 2024 

Le pôle décompte de #NousToutes, composé de bénévoles qui travaillent toute l’année à recenser les féminicides via la presse, a étudié les 140 féminicides et 166 tentatives de féminicides répertoriés en 2024.  Il en ressort : 66% des féminicides ont lieu au sein du couple, 16% dans l’entourage social, 15% dans l’entourage familial et 3% ont été des suicides forcés. 84% ont eu lieu au sein du foyer. Le domicile est l’endroit le plus dangereux pour les femmes. 7 victimes…

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Déclaration de La Fondation des Femmes,soutenant la pétition appelant à la réhabilitation des femmes condamnées pour avortement

Déclaration de La Fondation des Femmes,soutenant la pétition appelant à la réhabilitation des femmes condamnées pour avortement

Avant 1975, en France, avorter constituait un crime. Pas de recours, pas de soutien, pas d’encadrement médical. Condamnées à la clandestinité, certaines femmes ayant avorté ont même été condamnées tout court à plusieurs mois de prison. Des femmes jugées, humiliées, sanctionnées pour avoir voulu disposer de leur corps ou aider celles qui en avaient besoin. Certaines ont payé des amendes, d’autres ont été emprisonnées, des drames qui ont parfois décimé des familles, comme ça a été le cas pour Jocelyne,…

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Histoire des luttes féministes et EVRAR

Histoire des luttes féministes et EVRAR

Communiqué Pourquoi faut-il introduire l’histoire des luttes féministes dans le texte de la loi visant l’éducation à la vie affective et relationnelle et la sexualité affective dans les écoles (EVRAR) ? Les luttes féministes, passées et présentes, ont mis l’accent sur la réappropriation du corps des femmes, car elle est au cœur de leur émancipation. Or, cette réappropriation par les hommes constitue encore un bastion solidement gardé. C’est pourquoi ces luttes ne sauraient être perçues et enseignées comme un objet…

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Sept mois de grève des femmes de chambre aux Hôtels de Pont de Suresnes

Sept mois de grève des femmes de chambre aux Hôtels de Pont de Suresnes

Sept mois de grève des femmes de chambre aux Hôtels Campanile et Première classe de Pont de Suresnes Bas salaires, cadences insoutenables, licenciements abusifs La grève commencée le 19 août 2024 à Pont de Suresnes dure maintenant depuis 7 mois. 16 salarié.es des hôtels Campanile et Première classe du groupe Louvre hôtels font grève, avec plusieurs revendications : Une augmentation des salaires de base indexée sur l’inflation L’instauration d’une prime exceptionnelle de pouvoir d‘achat L’arrêt des pratiques de déstabilisation des salarié.es,…

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